Le Zen dit que si vous lâchez le savoir – et dans le savoir tout est inclus, votre nom, votre identité, tout, parce que cela vous a été donné par les autres – si vous lâchez tout ce qui vous a été donné par les autres, vous aurez une qualité d’être totalement différente – l’innocence.
Ce sera la crucifixion de la persona, de la personnalité et il y aura une résurrection de votre innocence. Vous deviendrez de nouveau un enfant, re-né.
mardi 31 août 2010
Léo Hartong
lundi 23 août 2010
Alain Galatis
Alain Galatis
samedi 21 août 2010
Wayne Liquorman
Wayne LiquormanLe 17 septembre | |
RENCONTRE NON-DUALITÉ À PARIS avec WAYNE LIQUORMAN "La liberté n'est jamais atteinte. Elle ne peut qu'être révélée. La liberté n'est pas une chose à acquérir mais une condition qui existe en ce moment même. Elle est là, maintenant, en ce moment même, et elle sous-tend toute chose. La véritable liberté est acceptation totale." Wayne Liquorman. (Disciple réalisé de R.S. Balsekar) En quête de vérité sur lui-même, Wayne Liquorman rencontre, puis fréquente, Ramesh Balsekar son initiateur à l’évidence de la non-dualité. En 1989, son monde quotidien s’effondre pour laisser place à l’Ultime Compréhension. Ce n’est qu’en 1996, que Balsekar l’invitera à sortir de l’anonymat. Depuis, il enseigne sans concession, auprès de très nombreux chercheurs spirituels, le retour à l’évidence. VENDREDI 17 SEPTEMBRE À 19H30 à l'USIC 18 Rue de Varenne CODE PORTE : 3091 75007 Paris Métro : Rue du Bac (au lieu de 25€ si réservation avant le 14/09) |
mercredi 11 août 2010
Innocence
Osho Dang Dang Doko Dang Chapter 7 Commentaire :Le vieil homme de cette carte rayonne une joie enfantine dans le monde. Une sorte de grâce l’entoure, comme s’il était à l’aise avec lui-même et avec ce que la vie lui a apporté. Il semble avoir une joyeuse communication avec la mante religieuse sur son doigt, comme si tous les deux étaient les plus grands amis. Les fleurs roses tombant en cascade autour de lui représentent un temps de lâcher prise, de relaxation, de douceur. Elles sont une réponse à sa présence, un reflet de ses qualités authentiques. Osho Le tarot zen |
dimanche 8 août 2010
Douglas Harding
DOUGLAS E. HARDING L'accès direct à votre paix intérieure Traduction de Catherine Harding |
Lorsque nous rencontrons des situations stressantes dans notre vie quotidienne, notre tendance naturelle est la fuite. Si au contraire nous pouvons intégrer le stress en nous, le conflit disparaît. “Le but de ce livre – son hypothèse à vérifier par tous les moyens possibles et tous les jours – c’est que la prise de conscience de soi est la réponse, la clé du royaume dont vous êtes le roi, le remède souverain à tous vos problèmes, quels qu’ils soient.” Cette méthode peut transformer l’ennui en joie et le découragement en félicité. Il n’y a qu’une chose à faire : avoir l’audace de jeter un regard neuf sur soi-même. “Hors normes, Vivre sans stress n’est pas à proprement parler un ouvrage sur la relaxation, ou alors au sens le plus profond, le plus spirituel du terme puisque son auteur, le célèbre Douglas Harding, nous y livre les dernières mises au point de sa méthode d’éveil. Attendez-vous à une grande découverte !” La Vie Naturelle 370 pages - 23 €
|
Alain Galatis
Éros unité Alain Galatis Dans ce nouvel ouvrage, Alain Galatis ne témoigne plus d’un cheminement possible de l’individu vers l’unité du réel mais reconnaît l’évidente primauté de celle-ci. Explorant les multiples facettes, souvent paradoxales, d’un tel changement de perspective, l’auteur se confronte à un obstacle principal : comment considérer le mal et la souffrance face à l’unité ? Une telle position l’amène également à une remise en question radicale du travail jusque-là accompli. Il n’y a jamais eu d’individus et le passage du fini à l’infini fut également un leurre. Seule existe l’union du monde. Seule existe la pure fusion amoureuse de ce qui est. Seul existe le réel qui est amour. Le magma Ainsi, il est possible à l’humain de plonger au cœur du réel, dans le magma en fusion de ce qui est, où il se trouve instantanément calciné, pulvérisé en particules innombrables, transformé en lave insignifiante. Il lui est possible de rester conscient, à chaque instant, de ce processus, de cet anéantissement. Il lui est possible alors de se découvrir innommable conscient, conscience de l’indicible. Et il est possible de revenir, de réintégrer le monde des apparences, d’évoluer dans l’espace et le temps, d’agir sous une forme particulière. Une fois ces deux dimensions clairement perçues, l’individu et le magma, les éprouvant à chaque instant, plusieurs questions nouvelles se pressent : l’humain est-il individu ? Ou est-il magma ? Ou est-il individu et magma ? Mais comment un individu peut-il apparaître dans le magma ? L’individu se révèle une apparence dont le magma se pare. Le magma englobant tout, ne connaissant aucune antériorité, aucune dimension, aucunes limites, d’où l’humain a-t-il plongé ? Il était déjà magma. Il était magma, mais il ne le savait pas. Pourquoi, alors, accomplir ce plongeon s’il n’est pas réellement un plongeon ? Et comment un plongeon qui n’existe pas peut-il être un acte excessivement important, désespérément vital ? S’il se révèle tellement nécessaire, pourquoi n’est-il pas accompli rapidement, aisément, facilement, par tous, là, maintenant, tout de suite ? Si l’humain est magma, lave insensée, pourquoi ne le perçoit-il pas ? Comment peut-il encore croire aux apparences ? Qu’ont-elles de si obscurcissant ? Quelles forces possèdent-elles pour que les humains se transforment en fragments infimes de lave refroidie roulant solitaires le long du volcan ? 2 Cercle vicieux Constamment, l’humain crée les illusions qu’il sera amené à démonter et dont il devra se défaire. Paradoxe : pour se découvrir magma, l’humain doit reconsidérer cette conscience particulière d’être un individu mais, à chaque instant, ses pensées et ses perceptions le ramènent à cette dimension. Ainsi, perpétuellement, recrée-t-il le théâtre duquel il cherche laborieusement la sortie. Un cercle vicieux se dessine. L’humain se bat contre des ombres, mais ces dernières sont uniquement ses propres gesticulations projetées sur l’écran de sa conscience. Il suffirait de se tenir parfaitement immobile pour que s’évanouissent les fantasmagories, tel un projecteur de cinéma que l’on éteint. ... 102 Les éclats Un seul et unique événement. Les uns y voient le fini, les autres l’infini. Mais le fini est éclat, bribe, fragment de l’infini. L’éclat témoigne de l’infini. En lui et grâce à lui nous pouvons voir l’infini. L’infini, lui, recèle le fini. Il l’observe. C’est-à-dire qu’il se mire. Il regarde des fragments de ce qu’il est. 103 Courage Ayons le courage de l’infini. ... |