lundi 29 octobre 2012

Francis Lucille



Français / Espagnol






D'autres vidéos de Francis : Cliclic




Danses sacrées




Renseignements :

 * Création d'un Mandala du jeudi (14 h) au dimanche
Visite libre de 10 h à 12 h et de 14 h à 18 h
  Cérémonie de dissolution du mandala le dimanche à 10 h

* Spectacle de Danse:
 Jeudi 1er novembre, 20 h à Pontenx les Forges (salle des fêtes)
      Samedi 3 novembre, 20 h à Commensacq (salle des fêtes)
entrée : adulte 12 €, enfant 5 €

    * Dimanche 4 novembre à 14 h
     Conférence sur les 4 Nobles Vérités

* Consultation astrologique et divinatoire sur rendez-vous effectuée par Gomdé Rinpoché

* Un repas avec les moines sera organisé chaque jour, sur réservation uniquement
(20 personnes maximum)

Tous ces évènements (sauf les danses) se déroulent à l'Atelier des Résiniers
à Pontenx les Forges

Renseignements au:
06.26.85.78.56 (association Guidensoi)
ou 06.21.06.08.13  (association Célestine)

Grâce à vos dons, la Tournée Européenne des Moines de Séra va permettre
la réalisation de bâtiments d'étude au sein du monastère de Séra Jey (sud de l'Inde)



dimanche 28 octobre 2012

Jeff Foster





Le mystère de la vie n'est un mystère 
que du point de vue de celui qui tente de comprendre.
 Lorsque vous êtes la vie, 
 il n'y a pas de mystère intérieur ou extérieur à comprendre - 
il n'y a que la simplicité radicale de ce qui est,
 inséparable de ce que vous êtes. 
Etre ici, maintenant, inspirer, expirer, voilà le vrai mystère...



Tao Te King





Trente rais se réunissent autour d'un moyeu. 
C'est de son vide que dépend l'usage du char.

On pétrit de la terre glaise pour faire des vases.
C'est de son vide que dépend l'usage des vases.

On perce des portes et des fenêtres pour faire une maison. 
C'est de leur vide que dépend l'usage de la maison.

C'est pourquoi l'utilité vient de l'être, l'usage naît du non-être. 


 

mardi 23 octobre 2012

Yolande





AMOUREUSE DU SILENCE

RÉMUS CHANTAL, DURAN-SERRANO YOLANDE




Qui es-tu, Yolande ? Oui, quelle est donc cette femme qui, en dehors de toute démarche spirituelle, connut une éclatante révélation la conduisant vers un chemin de lumière ? 
A qui souhaite connaître l’histoire de Yolande, celle-ci se laisse découvrir, au fil des échanges en public et de ses propos en privé. Une vie simple à l’écoute du silence, un regard ouvert sur le monde, une paix intérieure qui la construit. 
Ce second livre n’est pas un guide vers l’éveil, mais un témoignage d’amour universel, une invitation à partager le bonheur d’une vie radieuse en accueillant ce qui est. 
Mettre en mots une expérience si particulière n’était pas chose aisée. Il aura fallu le talent et la sensibilité de Chantal Rémus, engagée à la fois sur la voie poétique et sur la voie spirituelle, pour rendre perceptible ce qui, profondément, anime Yolande. Ces deux « amoureuses du silence » devaient se rencontrer pour que nous soit esquissée, sous la plume légère du poète, la densité d’un regard comblé par l’essentiel. 
 
Editions Almora  Octobre 2012
 
 

Extrait d’Amoureuse du Silence  

 

Le silence entre nous s’installe, un silence qui n’est pas seulement une absence de mots mais un lieu où les dernières paroles prononcées s’infusent et où tout finit par se dissoudre dans la sensation pure. Il me semble toucher cette essence qui absorbe tout le reste.

p.26
Les yeux sont dessillés, et voient non ce qui devrait être, ne serait-ce que pour nous rassurer, mais CE QUI EST.

p.26
L’individu enfermé dans son mental ne peut se connaître. Cette connaissance est en même temps totale inconnaissance et n’est possible que si le mental est dissous. Il ne demeure alors plus aucune séparation entre le visible et l’invisible, le passé et le futur, la vie et la mort, l’être et le non-être.
On voit en un instant le cœur, l’origine de toutes choses. On voit que la liberté et la perfection ne peuvent exister, qu’il n’y a rien à changer dans le monde, car, depuis l’origine, chacun de nous est CELA. Ce qu’on appelle la grâce, c’est la libération de l’idée d’être une personne.

p.28
Le prisme le plus fidèle de ce qu’elle a vécu reste cette phrase de Nisargadatta déjà citée dans son premier livre:
Je ne m’occupe d’aucun miracle en dehors des trois qui sont en moi: le premier est que j’ai la faculté de voir le monde; le second est que le monde est contenu dans cette minuscule tache de conscience que je suis. Le troisième est l’apparition de l’être à partir du non-être. Réfléchissez à ces miracles. Tout ce qui est en vous.

p.32
C’est toujours quelque chose d’inexplicable à laquelle on ne peut pas s’attendre, un vécu d’explosions, de fulgurances, avec ce doigt sur le cœur venu plus tardivement.
….
La nature de ce je suis est claire. Je suis simplement le témoin de la succession d’activités qui se déroulent en moi.
La vraie déconnexion, l’éveil, c’est une fois pour toutes. Tant qu’on se reconnecte, ne serait-ce qu’un instant, à la conscience individuelle, c’est qu’on n’a pas pris la voie directe et qu’on ne demeure pas dans l’absolu, dans le silence absolu.

p.33
Se connaître en tant que cela, c’est le seul miracle, que l’on peut qualifier de quatrième état, même si ce dernier n’a plus les caractéristiques de ce que l’on nomme habituellement ainsi: apparition de l’être à partir du non-être, notre véritable nature n’étant pas de penser mais de voir. Cette vision nous met au cœur de toutes les manifestations, rendant impossible l’identification à la moindre action, politique, sociale, humanitaire.
L’aide n’est plus extérieure, elle est au centre de soi. Être ce silence, cette vacuité est l’émanation de cette aide elle-même.
Il suffit de comprendre ce grand «je ne sais pas» pour comprendre toute chose. Il suffit d’être uniquement et totalement cette chose pour être le Tout.

p.36
L’amour profond consiste à amener l’autre vers l’Un, amener la relation vers l’infini de l’amour plutôt que de descendre dans l’appropriation. Il est important de se détacher de l’idée d’être une personne amoureuse et de tomber d’abord amoureux du mystère de la vie.

Notre seule liberté est de nous connaître en tant qu’énergie pure. Vouloir se transformer est notre piège.
Le miracle, c’est de ne rien choisir, de sorte que la vie poursuive son cycle ininterrompu à travers notre corps.

p.40
Le Silence est discours ininterrompu, toujours en perpétuelle métamorphose, prêt à épouser toutes les formes, extatiques mais aussi ordinaires. Elle constate que cette flambée énergétique finit toujours par se résorber, ce qu’elle expérimente surtout lorsque, fermant les yeux, elle entre dans une relaxation très profonde.

p.49
Vivre, c’est faire face à tout ce qui arrive dans cette Paix et cette Tranquillité.

p.50
— Comment définiriez-vous l’amour dans cette dimension-là?
— C’est cette possibilité d’accepter tout ce qui se présente, d’aimer tout ce qui est, et d’avoir conscience de cet espace infini. C’est être totalement disponible, partager cette Paix, cette Tranquillité. Mais le définir est encore bien le réduire par rapport à ce qui se vit en direct dans cette expérience.

p.56
Lorsque je suis avec un ami qui n’est pas dans le spirituel, il peut avoir l’impression que je décide, mais l’important n’est pas ce que croit l’autre mais ce que vous voyez, vous. C’est cette conviction profonde, indétrônable même pour la personne à laquelle vous vous identifiez, c’est cette conviction qui est là avant tout et qui va prendre le pouvoir sur tout.

p.74
— Notre véritable nature n’est pas de penser mais de voir. Voir la réalité de cette illusion. De ce point de vue, il n’est plus possible d’embarquer dans les projections. Tout est expression du Silence. L’aide est là, constamment. Quand on ne gaspille plus son énergie pour sa petite personne, alors l’aide est là pour le monde entier.
On voit toujours le déroulement du film, on est témoin de son existence, de celles des autres, mais l’essentiel est ailleurs. Tout est illusoire.

p.75
— La vie se charge de tout. Le corps est très intelligent, surtout si l’on est immergé dans cette consciente constante de l’éternité. On n’a plus besoin de craindre la mort. Même si le corps décidait de s’arrêter maintenant, on serait d’accord. On ne se défend plus de la mort, ni pour soi ni pour quelqu’un d’autre. Bien sûr, il est préférable de mourir avant la mort, d’une mort psychologique qui rend la personne libre de la mort.

p.82
— Je sens que quelque chose existe avant le corps et l’esprit. Ce corps et ces sens sont focalisés sur un espace de lumière qui est là avant tout le reste et qui est témoin de toute la manifestation. Cet espace immobile, cette puissance, cette verticalité avant les sens, avant l’apparition de tous les phénomènes, avant la moindre pensée, avant l’instant pré- sent, c’est cela, le Silence. Cette paix, cette tranquillité qui en se reliant à l’horizontalité, crée l’équilibre.
Ce silence, vous pouvez l’appeler «présence», c’est la même chose.

p.139
 Épilogue ou nouveau commencement?
Comment conclure? La lecture d’un livre ne remplacera jamais la rencontre de cet effluve d’Énergie Pure, que représente la rencontre d’une personne en état permanent d’Éveil. En sa présence, on ne peut que se rencontrer soi-même, non en tant que personnage mais en tant qu’incarnation sensible de tout ce qui vit.
En effet, Yolande ne propose aucun dogme, aucun chemin de sagesse, elle montre ce que pourrait être notre vie si nous nous délivrions de ces croyances qui tissent autour de nous un cocon rigide dont nous ne percevons plus l’existence. Derrière ce cocon palpite un papillon prêt à ouvrir ses ailes. Il suffit, comme le dit Yolande, de s’abandonner avec une confiance absolue.

Yolande  site : clicclic


 
 

lundi 22 octobre 2012

Nicole Montineri




C’est le récit libre de Marie l’Égyptienne, dont l’histoire mystérieuse serait parvenue par transmission orale jusqu’à Sophrone de Jérusalem (fin 5e S./début 6e S.), alors qu’il était simple ermite de Palestine.
Marie l’Égyptienne est d’abord la prostituée qui incarne tout être en exil à l’extérieur de lui-même et qui, par l’audace d’une force d’amour immense, se retourne en elle-même, dans son intériorité. Elle part vivre solitaire dans le désert du Sinaï, matrice de feu, où elle se réalise source de vie éternelle.
Totalement brûlée par l’amour absolu, elle est l’archétype de l’être mystique qui va au-delà de l’union avec la déité, si enivrante soit-elle. Elle s’anéantit, elle « perd » Dieu qui s’anéantit aussi. Dans cette double mort, source de l’unité, la Divinité, ou l’Essence, a englouti le dieu personnel. Les séparations s’abolissent, passage du fermé à l’ouvert.


Nicole Montineri rejoint au plus près cette « expérience » indicible. Elle nous parle du vécu mystique dans la réalité de son propre vécu.


La voie brûlante de l’amour prolonge ce retour à l’être profond, dans une transmutation des ténèbres percées jusqu’au noyau par l’épée lumineuse de l’énergie d’amour.

On touche avec ces deux textes à l’essence de la Réalité ultime.


 Nicole Montineri vit dans le Sud de la France. Elle a publié «N'ayons pas peur de mourir» et «Déraciner la souffrance».

dimanche 21 octobre 2012

lundi 15 octobre 2012

Christian Bobin






"C'est quoi, réussir sa vie, sinon cela, cet entêtement d'une enfance, cette fidélité simple : 
ne jamais aller plus loin que ce qui vous enchante à ce jour, à cette heure.
Emprunter ce chemin qu'on ne suit qu'à s'y perdre."

Christian Bobin
"La part manquante."



dimanche 7 octobre 2012

Jeff Foster

                                                             Photo : File ElectronicLanguage InternationalFestival


                                                      LA FOURNAISE DE L'ÉVEIL

Vous n'avez pas de moi ? Vous avez perdu votre égo il y a quelques années? Vous n'êtes plus une personne ? Tous sens de "moi" s'est désintégré ? Vous avez une fabuleuse histoire d'éveil à raconter ? Vous êtes un maître spirituel sans parallèle complètement, totalement éveillé ? Fantastique ! Maintenant allez dans le monde mon petit ! Maintenant plongez dans le monde (qui n

'est maintenant rien d'autre que vous-même) et forgez cet éveil dans le feu brutalement aimant de la vie elle-même, dans le feu impitoyable de la douleur et du chagrin, dans la fournaise des relations intimes avec un partenaire, des amis, des parents, des étudiants, qui refusent de vous épargner leurs commentaires brutalement honnêtes au sujet de vous-même, qui ne sont pas tout le temps d'accord avec vous, et voyez si vous pouvez vraiment entendre et sentir ce qu'ils disent sans être sur la défensive, sans les attaquer ou recourir à des histoires concernant votre supériorité spirituelle, ou en les chassant de votre vie pour toujours.

Allez vivre, aimer, découvrir, avoir un enfant, ou non, laisser un enfant s'en aller, ou non, enseigner et être déçu par l'enseignement et le prêche et le fait de prétendre savoir, apprendre à aimer quand ils écoutent et aimer quand ils n'écoutent pas, leur permettre de rester et leur permettre de s'éloigner, trouver la joie dans les choses simples, découvrir ces besoins cachés en vous, ces sentiments d'insuffisance et de supériorité, et le besoin d'être aimé et approuvé, les sentiments que vous pensiez voir disparaître avec l'éveil, faire face à toute la merde enfouie à laquelle vous pensiez avoir réussi à échapper, rencontrer la vie dans son ensemble en tant que vous-même, tout autoriser dans cet espace éveillé, tout accueillir tel un hôte bienvenu, tout ce qui est dans ce moment, et remarquer, avec humilité écrasante et respect, que cela est autorisé que vous l'autorisiez ou non, et que vous ne savez pas ce que vous pensiez savoir sur le fait "d'autoriser".

Vivre, aimer, pleurer, tomber sur le sol en riant, avoir un cancer, crier au lit la nuit, se pisser dessus, faire l'expérience de la félicité comme vous ne l'avez jamais fait auparavant, et l'autoriser à passer lorsqu'elle le doit, faire l'expérience de la douleur comme vous ne l'avez jamais fait auparavant, et l'autoriser à rester aussi longtemps qu'il le faut, perdre un membre, regarder un être cher perdre l'esprit, passer par la douleur ou la joie ou la déception ou l'extase ou la terreur et en ressortir avec le coeur brisé et ouvert, plus exposés et vulnérables et ouverts aux expériences et aux autres (qui sont maintenant vous-même) que vous ne l'auriez jamais cru possible.

Faites l'expérience de tout cela, tout, crucifiez-vous avec tous les moments sacrés de la vie, et puis, sur votre lit de mort, dans vos derniers instants, je vous tiendrais la main, puis, peut-être, si cela vous intéresse toujours, et si vous pouvez encore vous en souvenir, nous parlerons de votre éveil fabuleux, complet, inégalé.

Ou nous pourrions tout simplement nous asseoir tranquillement ensemble, ici, maintenant, dans cette présence intime, au-delà de toutes les histoires.

Unmani Liza Hyde



Unmani Liza Hyde : Détente dans le non-savoir


Unmani Liza Hyde est l’auteur d’une autobiographie de son éveil intitulé “Je suis la vie même, Le paradoxe absolu du Rien en tant que Tout” (Charles Antoni L’Originel, collection Non-Dualité, 2007). 
 

A cause de mon pied cassé, j’ai passé la plus grande partie du mois suivant, alitée à contempler le plafond. Je me sentais tellement perdue et à bout de force. La souffrance physique et émotionnelle était insupportable. « Ce n’est pas possible ! Je ne peux pas continuer ainsi. Cela ne peut pas être tout ce qui est ! »
Environ un an plus tôt, j’avais entendu parler d’une femme qui abordait le sujet de « l’Eveil ». La première fois que j’avais entendu ce terme « Eveil », je n’avais aucune idée de ce qu’il signifiait et n’étais pas vraiment intéressée de le savoir. Cela semblait être encore une autre expérience spirituelle, un nouvel objectif à atteindre. Je savais déjà que ces objectifs spirituels n’avaient rien à voir avec la complétude de la réalisation. Mais quand j’en ai entendu davantage sur ce que cette femme disait, je devins terrifiée à l’idée d’aller la voir, car je réalisais bien que d’une certaine façon, c’était la fin.
Condamné au lit avec mon pied cassé, je commençais à l’envisager. Tout en étant terrifiée, je savais aussi que je ne pouvais pas continuer de la sorte. Je me sentais assez suicidaire. La vie ne valait pas la peine d’être vécue. Tout ce que je voulais c’était atténuer ma peine, dormir ou mourir. Je suis donc allée la voir.
Alors même qu’elle parlait, je luttais contre tout ce qu’elle disait. J’essayais de tout organiser. J’essayais de comprendre et de relier ce qu’elle disait avec ce que je pensais connaître. Les pensées tournoyaient et travaillaient très dur pour trouver la solution.
C’est à ce moment-là, qu’il y eu soudain une reconnaissance de ce que je suis. Maintenant c’est vu comme ce qu’on appelle « l’Eveil ». Je ne peux pas dire que c’était quelque chose de vraiment spécial car il n’y avait rien, ni personne pour la décrire. Après ce non-événement, les pensées ont essayé de rapporter, d’expliquer que c’était arrivé à cause de ceci ou cela. Mais en fait c’était arrivé, tout simplement ! Ou plus précisément rien n’était arrivé. C’était en fait, la reconnaissance du caractère tout à fait ordinaire du non-savoir, mais avec elle, il y avait une relaxation et un tel soulagement par opposition au désespoir de la recherche. Il était évident que ce qui était montré, était vraiment ce que je suis. Je l’avais toujours su, mais je m’étais tellement habituée à ne pas le voir, car c’est toujours là, en arrière-plan du jeu de la vie. Je m’étais tellement habituée à ce que les gens fassent semblant et parlent de tout ce qui apparaît dans le jeu, que je n’avais jamais compris que le jeu pouvait être utilisé pour exprimer cela même, qui connaît le jeu. Une fois « vu », ce n’était plus que rires. « Regardez, nous ne faisons que faire semblant. Ha ! Ha ! » C’est ce qu’on appelle « l’Eveil ». En fait on aurait pu presque dire qu’il y avait fusion avec ce qui était déjà connu, mais seulement négligé. Il y eut des larmes de gratitude envers la Vie. Enfin, enfin trouvé. Enfin reflété dans l’apparence. Enfin le voile pouvait tomber, il n’y avait que la détente dans le non-savoir.

Unmani Liza Hyde, Je suis la vie même, Le paradoxe absolu du Rien en tant que Tout, Charles Antoni L’Originel, collection Non-Dualité, 2007, pp. 15-17.
source: 3ème Millénaire